Des études ont montré que la Dépakine ont causé des malformations chez 2.150 à 4.100 enfants. Les dangers de la Dépakine sont connus depuis les années 80 ; or les femmes n’ont pas été informées.
Le risque lié à l’exposition in utero à l’acide valproïque confirmé : Considérant que 30 % à 40 % des 41 600 à 76 100 enfants exposés entre le début de la commercialisation de la Dépakine en 1967 et 2016 seraient concernés, ce sont donc entre 16 600 et 30 400 enfants qui seraient atteints de troubles neuro-développementaux précoces, en comptant ceux dont la mère était traitée pour des troubles bipolaires. |
Des mesures de réduction du risque engagées en France depuis 2014 : Plusieurs mesures de réduction du risque pour limiter l’exposition au valproate pendant la grossesse ont été mises en place depuis 2015 par les autorités de santé en lien avec l’association de patients APESAC et les professionnels de santé : |
Dépakine. L’État discutera avec Sanofi sur une indemnisation Agnès Buzyn était interrogée sur France Inter au sujet de la Dépakine de Sanofi et d’autres médicaments responsables depuis 1967, selon l’Assurance maladie et l’Agence du médicament (ANSM), de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants, et de troubles neuro-développementaux chez 16.600 à 30.400 enfants. "On a évidemment les moyens, les discussions ont lieu. Je rappelle que c’est la première fois que c’est comme cela : c’est que plutôt que les familles se retournent vers l’industriel, l’État met en place un fonds pour accélérer les choses, et que ça ne traîne pas. Et ensuite c’est à l’État de se retourner vers les personnes en faute, évidemment", a-t-elle déclaré. Dépakine : l’État discute avec Sanofi sur une indemnisation, Le Figaro, 26 juin 2018 |
APESAC : Association d’Aide aux Parents d’Enfants souffrant du Syndrome de l’Anti-Convulsivant
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Interdiction du valproate, plus de 37 000 femmes en danger et interdites de grossesse :
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Autre source : Dépakine, un silence coupable
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