Perturbateurs endocriniens en IDF

, par Kathy Ajakane

La caractérisation du risque pour l’homme associé à l’exposition aux perturbateurs endocriniens reste difficile. La cohorte ELFE et la cohorte PELAGIE étudient les déterminants environnementaux et sociétaux qui, de la période intra-utérine à l’adolescence. L’Anses, dans le cadre de la SNPE, s’est vue confier l’évaluation d’au moins 5 substances par an sur trois ans.

Le 20 mars 2019, la Région Île-de-France signe la charte Villes et territoires « sans perturbateurs endocriniens » et devient ainsi la première région française à s’engager contre ces substances délétères pour la santé.

Perturbateurs endocriniens

Effets sur la santé et leviers d’action en région, ORS-IDF, mars 2019

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