Réforme des études de santé

, par Florence Fontaine

L’admission actuelle dans les études de santé se fait très principalement via la PACES et est limité par le numérus clausus qui définit chaque année le nombre d’étudiants pouvant être admis en 2e année d’études de santé. Parmi les 40 000 nouveaux bacheliers qui s’inscrivent en PACES chaque année, un tiers poursuit en études de santé, le plus souvent après un redoublement, et les deux tiers se réorientent dans des filières de l’université ou en dehors, parfois découragés par deux échecs.
Ce système d’admission, basé sur une sélection drastique, ne répond pas aux attentes des étudiants, ni à celles des personnes soignées ou de la société dans son ensemble.

La transformation des études de santé vise à mieux former, mieux orienter et mieux insérer les futurs professionnels de la santé.
• Améliorer l’orientation et la réussite des étudiants dans la continuité du plan étudiants.
• Adapter les compétences des futurs professionnels aux besoins du système de santé pour soutenir sa transformation.
• Décloisonner les filières de santé et permettre des temps de formation en commun.
• Améliorer la qualité de vie et le bien-être des étudiants
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/191105_-dossier_de_presse_-reforme_des_etudes_de_sante.pdf

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